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venerdì 14 novembre 2014

MEMOIRES D'UN VIVANT

Quand on commence la journee a cinq heures le matin en ecoutant le "Requiem" K 626 de Mozart en attendant de prendre l'antibiotique a six heures parce que dans la matinee tu dois aller te faire controler si le dernier - on espere que ce soit le dernier - "implanto" dentaire marche comme il faut et en meme temps tu commence lire le premier chapitre d'un bouquin sur le "Trattato teologico-politico" di Spinoza. Si tu te prepare a prendre ton cocktail de pillules a 6 heures et demi accompagne par des esercises d'allongement et de logopedie pour ton petit probleme, tu dois bien te soulager et alors tu mange ce qui reste de la patisserie a the et des pralines  au chocolat d'une visite de chers amis le jour avant; tu dois pour ca meriter l'enfer? et non: Je suis un homme libre (Spinoza-Voltaire-Kant) et je m'en fou mais j'espere que elle, en se reveillant, ne me casse pas les pieds. Parce que s'il est vrai que dans le milieu du "Dr Why" quelqu'un me voit comme une espece de SOCRATES, je suis le SOCRATES du dernier jour, avec la cicute mais sans SANTIPPE.
Sans accents et sans dictionaire

1 commento:

  1. per ogni uomo c'è sempre una "paziente" Santippe

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